Espace grossesse > motivation confiance 01

Motivation - Confiance - Affirmation de notre confiance (1) 

 

."Avant"-motivation La future mère convaincue naturellement ;La future mère qui hésite ; Pour faire plaisir
La motivation est là, on a envie d'allaiter. Confiance en soi ; L'affirmation et la confiance- Quelques exemples de réflexions-quelques réponses à rétorquer gentiment:

Envie, désir, choix;

Pensée: sur 100 futures mères en début de grossesse, 75 envisagent d'allaiter; seulement 52 débutent un allaitement; à un mois d'allaitement, les chiffres sont bien plus bas; cela fait de nombreux renoncements!

Une étude fut faite récemment avec l'Institut des mamans et La Leche League qui donne les chiffres suivants

Durée escomptée 2001(1):

tableau duree escomptee

 

Durée d'allaitement 2001 (1):

tableau duree allaitement

 

Pensée:

Plus notre désir apparaît tôt dans la grossesse, plus on a de chances de bien allaiter: la motivation, la confiance, l'information, sont prépondérantes; partir avec un bon numéro de téléphone est parfois un gage de sécurité; le rôle du papa trouve ici une de ses voies: épauler la jeune mère, examiner la prise en bouche du sein, prendre lui-même le téléphone pour appeler l'association qui va bien;

A titre anecdotique, j'ai eu des papas qui prenaient la relève:

  • mère hospitalisée avec les enfants,
  • mère avec 39°6°C de fièvre (lymphangite),
  • besoin de faire le point, la mère donne le sein, le papa s'informe;

 

La future mère convaincue naturellement


La motivation maternelle est toujours prépondérante; que l'allaitement soit pour vous une évidence, une conception naturelle de votre maternage; que l'allaitement représente quelque chose d'un peu indéfinissable, d'instinctif; que l'allaitement représente un atout majeur pour votre enfant, santé, relationnel, ce désir, cette motivation, sont un des points majeurs de votre réussite.

séparateur

 

La future mère qui hésite

Elle peut-être, encouragée, informée, soutenue, afin de prendre une pré-décision. Il lui appartiendra, à la naissance de l'enfant, de laisser jouer son instinct, de garder son enfant peau à peau, et de laisser parler son corps. Cette femme devenue mère, pourra dans ces heures post-partum, prendre ensuite sa décision de materner par le sein, OU NON.

Une femme ne doit pas allaiter sous la pression de la société, de son compagnon, de sa propre mère;

de même, elle ne doit pas sevrer sous la pression des gens, ni des médecins (à cet egard, il y a peu de contre-indications à l'allaitement; bientôt un dossier-contactez-moi si vous vous posez des questions)

séparateur

Pour faire plaisir

La maman qui pense allaiter, mais qui pense le faire pour faire plaisir à autrui, devrait être prise en charge par une tierce personne, une association, à qui elle fera elle-même appel.

Il m'est même arrivé dans le cadre de mon soutien à l'allaitement maternel de demander à la mère ou future mère:"est-ce que VOUS avez envie d'allaiter?" "vous me parlez beaucoup de votre compagnon, mais vous, qu'en est-il?"

Si elle souhaite "faire plaisir" à autrui, la (future) mère devra informée sur ce qu'est l'allaitement, rôle nutritionnel, aspect psycho-affectif, de l'allaitement au sein; lui faire connaitre l'allaitement au sein: Voilà ce qu'est l'allaitement ...Non l'allaitement, ce n'est pas çà, ni cela...Vous pouvez aussi...

Toujours laisser une chance et une ouverture: une chance de mieux comprendre l' allaitement, et donc, en CONNAISSANCE DE CAUSE, prendre une décision par soi-même.

Les unes, les autres de ces femmes, auront choisi leur maternage.
Qu'elles sachent les unes et les autres, que leurs décisions ne sont pas à sens unique, toute mère pouvant induire une lactation; qu'elles sachent les unes et les autres, qu'elles sont respectées, qu'elles doivent l'être, aux seuls noms de l'amour, du bien-être, du relationnel.

La motivation est là, on a envie d'allaiter.

Continuer à être bien dans sa tête, c'est s'armer de force mentale: non seulement je veux allaiter, mais je le peux.

séparateur

CONFIANCE EN SOI

Très peu de femmes manqueront de lait. Elles sont une minorité, ces mamans qui par cause physiologique, devront être vraiment très aidées, très informées, et malgré cela devront peut-être compléter. A venir ....dossier Manque de lait (ex. chirurgies mammaires,pb hormonaux)

Beaucoup auront des baisses de lait, EVITABLES,et "GUERISSABLES"

Vous pouvez allaiter votre bébé, vos jumeaux, triplés, la nature est ainsi faite que bébé(s) stimule(nt) lui-même (eux-mêmes) votre sécrétion.

 

Ayez confiance en vous.

Votre entourage, familial, médical parfois aussi, peut vous encourager, mais si jamais il y a un souci, comme personne ne sait combien l'enfant prend de lait, parce qu'on ne peut comptabiliser ce qui sort des seins, dès qu'il y a un problème que va -t-il se passer? le sein est deveu l'inconnue numéro 1, le facteur X; alors on va se tourner vers le connu: le lait artificiel; on va vous proposer de donner des biberons, de sevrer, d'arrêter d'allaiter.... Il est inimaginable d'entendre autant de dmauvais conseils,que l'allaitement se passe bien, (mais pourquoi allaite-t-elle, pour quoi??) que l'allaitement se passe mal (l'enfant ne grossit pas beaucoup), que l'enfant pleure (car forcément alors c'est votre lait qui est mauvais; personne n'ira imaginer que l'enfant pleure pour passer ses messages, ses besoins de câlins, ses besoins de proximité mère/enfant);

Je me place ici dans le contexte:

vous souhaitez continuer d'allaiter et exclusivement

+ on a quand même cherché des solutions physiologiques "avant"

Sachez refusez le biberon

(faites-vous conseiller par une vraie ressource lactation qui saura voir avec vous si l'enfant manque de lait, trouvera une aide technique pour améliorer votre lactation, ou pour vous expliquer pourquoi l'enfant pleure, par exemple);

Doit-on vilipendier les gens qui vous proposeront de donner des biberons sans vergogne?? au-delà de leur méconnaissance, il peut y avoir leur peur pour votre santé, on imagine que l'allaitement fatigue, et dès qu'il se passe quelque chose que l'homme du XXe - début XXIe siècle ne quantifie pas, ne maîtrise pas, hop ça ne va plus;

On ne sait plus allatier de façon naturelle et innée; donc dès qu'il y a un problème, même les plus motivées des équipes proposent des biberons;

Enfin, dans chaque femme en face de vous, peut se trouver une personne qui n'a pas pu allaiter autant qu'elle l'aurait voulu; son propre vécu, ses propres maux peuvent passer à travers ses mots;

le biberon-panacée qu'on vous tend et retend si souvent à la maternité, puis à la PMI ou cabinet pédiatrique, sans parler des média (pub des fabricants de lait de biberons et autres....) ; avant de "prescrire" ou "préconiser" un biberon de lait artificiel, on devrait déjà trouver des solutions plus en adéquation avec santé et lactation; il y en a; ensuite, on devrait réfléchir aux dispositifs et techniques à employer;

Donner du lait artificiel, c'est soit du mixte soit compléter les tétées;

  • Le mixte coupe le lait.
  • Le complément entraine le mixte et coupe le lait.

c'est reconnu par les fabricants de lait industriels eux-mêmes!! Le sein est une glande, l'enfant y va pour téter pour le plaisir/câlin/relationnel; s'il a faim, il tètera efficacement et stimulera la glande qui fabriquera en quelques secondes, le lait "commandé" par l'enfant; Si l'enfant reçoit un biberon de lait artificiel il arrive au sein en partie rassasié, stimule le sein mais n'exprime pas une grande faim; il stimule peu, le sein fabrique tout ceq ui a été demandé, ddonc peu;

L'enfant qui a reçu un complément après le sein, et qui reçoit à nouveau un complément après al tétée-sein suivante, n'est pas idiot; la mise au sein d'après, il va téter pour le relationnel, mais il ne va pas stimuler le sein; il va au sein, et se contente de lui signifier: "écoute je suis là pour le câlin mais inutile de me fabriquer du lait, puisque je vais boire mon biberon après";

La confusion sein/tétine pose des problèmes, car le sein se tète, le biberon se suce (physiologiquement parlant); donc l'enfant reprend le sein, mais ne place pas forcémen bien sa langue, n'ondule pas forcément correctement comme d'habitude au sein;

La paresse sein/biberon est également une conséquence assez courante, qui pose des problèmes aux mères: leur enfant refuse le sein, car le lait coule d'un trait au biberon, alors que le sein a besoin d'être tété vigoureusement et fabrique le lait en flux; la mère pense (à tort) qu'elle n'a plus de lait, alors que l'enfant  crie pour que ça coule plus vite ou bien il se détourne en disant: "bon écoute ton sein il st bien, mais j'ai bu mon premier flux de lait, moi je ne veux pas attendre le deuxième flux, je veux le truc qui coule vite et d'un coup";

Pour en savoir plus, consultez le dossier Sein, glande ou réservoir, en finir avec les mythes

Refusez le "bout de sein" (ou téterelle);

Ce capuchon nuit à la stimulation de la bouche de Bébé sur votre mamelon; ce dernier reçoit donc moins bien l'information de "commande de lait"; le sein va fabriquer 100% de l'information reçue, mais il y a perte d'information à cause de cette couche de caoutchouc ou silicone, d'où risque de baisse de lait; fut une période où chaque femme se voyait proposer cette téterelle; un peu comme s'il fallait mettre une barrière entre bouche et sein, chose naturelle; le sein n'est pas sale, la bouche d el'enfant non plus; il n'y a pas transmission de microbe; au contraire, la peau de maman est "huilée" grâce aux tubercules de Montgomery sur l'aréole, il faut éviter téterelle (et lavage/rinçage du sein);

Ce capuchon n'est pas à jeter, mais il doit être réservé à des problèmes bien spécifiques de succion du bébé (assez rare) ou à d'énormes crevasses (qu'il faut traiter, et dont il faut déterminer la cause). Certaines femmes ne parviennent à allaiter les deux premiers mois, que grâce au bout de sein; il doit répondre à une question technique précis; et lorsqu'on utilise des bouts de sein, il FAUT finir de vider les seins au tire-lait par exemple.

Refusez le biberon d'eau

qui remplit l'estomac inutilement-outre la confusion sein/tétine, la paresse sein/biberon, le biberon d'eau est inutile, car la sécrétion lactée s'adapte totalement et immédiatement aux besoins de Bébé; a-t-il faim, votre sécrétion est sucrée, puis grasse; a-t-il soif? votre sécrétion devient claire comme de l'eau de roche....

N'écoutez les "conseils"

qu'ils émanent de votre maman, de votre soeur... d'une voisine.... uniquement s'ils sont positifs, et surtout, uniquement s'ils proviennent d'une personne ayant allaité heureusement, ou ayant des compétences en allaitement.

Considérez les indicateurs de bonne prise de lait (différents des courbes de poids) pour vous rassurer, le temps de faire appel à un professionnel ou bénévole en allaitement.

 

Des indicateurs sont là pour vous dire que vous avez assez de lait Parmi lesquels :

  • 6 couches mouillées par jour (minimum)
  • 2 selles par jour au moins ( le nombre de selles quotidienne peut diminuer au delà de l'âge de6 semaines, voire atteindre une selle tous les 5, 7, 10 jours...qu'on tolère s'il n'y a pas souffrance, ventre dur, douleurs abdominables))
  • ET une montée de lait vers J3; au-delà attention, revoir l'allaitement, les tétées
  • le méconium est totalement éliminé AVANT J5
  • un air content, épanoui
  • une croissance régulière; il ne s'agit pas de prendre beaucoup de poids, mais d'en prendre progressivement, harmonieusement;
  • partir du poids le plus bas après la naissance, et non du poids de naissance!

 

  • sur plusieurs semaines, le périmètre crânien doit augmenter régulièrement, poids, taille, harmonieux, en hausse, 5-6 pipis quotidiens, 2 grosses selles molles jaune d'or , si des points ne sont pas concordants, prenez conseil, il y a peut-être un bébé à aider dans son effort de vider vos seins, il y a peut-être une tétée à ajouter...

    l'enfant pleure? pas toujours de faim.... il faut considérer un ensemble de données avant de penser que l'enfant qui pleure a besoin d'un biberon.....

    Les ressouces lactations sont là pour vous apporter les éléments à apporter au médecin qui lui, procède à l'examen clinique; un bon travail, c'est un travail qui se fait ensemble;

Pour une mise en place OPTIMALE de la lactation-RESPECTONS LA MERE dans son accouchement ET ECOUTONS LE RYTHME DES BEBES

séparateur

AFFIRMATION ET CONFIANCE

Je pense très sincèrement qu'en connaissant les possibles arguments des autres, et en ayant une réponse à leur opposer,

vous pouvez AFFIRMER votre volonté d'allaiter, et conserver votre CONFIANCE en la NATURE (si ce n 'est au départ en vos bébés, en vous).


Un jour, un enfant a dit "NON"; il a adoré prononcer ce mot au point qu'il l'a répété: NON NON NON.
Pour la première fois, il s'affirmait, il prouvait qu'il pouvait avoir un impact moral et pas seulement un impact matériel comme jeter un objet.
Mon parallèle est saisissant et contrasté, car la femme enceinte, plus particulièrement de jumeaux, va dire: "moi je veux allaiter";
-hein, quoi, comment?
OUI, je veux allaiter!
Et là dans l'étonnement général:
OUI, je veux allaiter, je le veux, et je le PEUX.
Et là intervient le deuxième facteur: la CONFIANCE. Car si s'affirmer vace à autrui est une étape complémentaire dans notre démarche, la confiance EST UNE étape primordiale et essentiel.

Et bien avis à "autrui": famille, entourage, gynéco, pédiatre, sage-femme, puéricultrices....

"Je peux allaiter, à 100%, sans rien d'autre que mon lait, pendant six mois si je le veux, voire plus longtemps encore, et même continuer au-delà des six mois, en introduisant des solides.dites, entre nous, "même que" je peux allaiter allaiter des jumeaux rien qu'avec mon lait (même qu'on peut avec des triplés)."

(on peut bien sûr s'arrêter "avant", ou plus tard; tout n'est qu'une question de choix personnel ET informé;

Les recommandations OMS (organisation mondiale de la santé) sont: allaitement exclusif au sein durant six mois, puis continuer l'allaitement jusqu'à l'âge de deux ans, en introduisant les solides; les études médicales s'accordent à dire que plus l'enfant est allaité (en exclusif et durabilité) et plus il est protégé; le sevrage est choix personnel; j'ai personnellement allaité au delà de ces 2 ans; et j'ai aidé des mamans à sevrer, à 6 mois, à 1 mois.... à 18 mois....

Je peux allaiter car je le veux, car j'ai confiance en mes bébés, en la nature, en moi.

  • Allaiter des jumeaux, mais c'est pas possible!
  • Allaiter, mais tu n'y songes pas?
  • Allaiter, mais tu n'auras jamais assez de lait.
  • Allaiter, mais tu n'y arriveras pas.
  • Allaiter, ça fatigue.
  • Allaiter, mais c'est inutile.
  • Allaiter, mais enfin,puisque tu vas reprendre le travail.....

L'humanité s'est nourrie depuis + de 3 Millions d'années de lait maternel exclusivement

et durablement dans la vie de bébé, c'est quand même signe que le lait maternel coule à flots et est LE lait qui correspond à nos enfants.

Nous sommes bien sûr dans le cadre d'une démarche de femme qui veut allaiter.

Les naissances de jumeaux ne datent quand même pas de ces dernières générations;

Alors comment faisaient les grands-mères de nos grands-mères quand elles avaient des jumeaux? Comment faisaient les nourrices, qu'elles soient gardiennes, ou qu'elles aient pris le relais d'une soeur, d'une cousine, d'une voisine venant de mourir?

Notre pays a un gros problème avec l'allaitement; nous sommes le seul pays où les femmes n'ont pas de lait pour un enfant et encore moins pour deux; étonnant, quand même, quand on regarde la situation d'autres pays voisins européens (Hollande, Norvège) ou du monde entier!

séparateur

Quelques exemples de réflexions-quelques réponses à rétorquer gentiment:

c'est inutile

C'est gentil pour dame nature c'est quand même la création et l'adaptation de la vie tant organique que minérale; pensez quand même que dame nature nous a donné des seins qui sont incapables de faire du lait en poudre!

vous avez du mauvais lait:

Il n'y a pas un mauvais lait; ils sont très rares ces enfants qui font allergie au lait maternel. On peut imaginer une allergie à certain acide aminé de la mère, mais ces allergies sont rarissimes et synonymes de gros problèmes d'alimentation pour l'enfant;

cela fatigue

calculez le temps passé au magasin pour acheter du lait en poudre, de l'eau et le matériel; calculez le temps d'hygiène, de préparation des biberons puis le temps passé à donner les biberons; attendre le rot; mais aussi les frissons la nuit assise sur le canapé à donner le bib de la nuit; sans compter les effets néfastes pour le bébé de la télé que vous regardez pendant ce bib de la nuit.

Allaiter n'a jamais exigé d'être alité, ou alors on a une jambe cassée, malheureusement. Allaiter des jumeaux n'a jamais exigé d'être alité. Quoique parfois, entre courir dans les transports en commun (ou les embouteillages) dans le froid, pour se faire disputer par le chef, parce qu'on a mal compris ce qu'il voulait, on voudrait peut-être rester chez soi... au lit.

Est-ce que je serais restée au lit pendant 18 mois, temps où les enfants ont commencé de moins téter?

et la reprise du travail?

là le gros problème de la société française (à défaut d'être francophone) actuelle....

pourquoi allaiter, alors qu'on va reprendre le travail? (et bien pour lui apporter un maximum de câlin avant de reprendre le chemin du travail)

autre hic pour la courageuse qui a quand même allaité même si elle sait qu'elle va reprendre son travail: le sevrage.

Pourquoi sevrage rimerait-il avec reprise du travail? Modification de l'allaitement est une autre formulation plus humaine et sociale.

J'allaite; je reprends le travail, certes, mais qu'est-ce qui m'empêche de donner le sein le matin avant de partir, le soir en rentrant (à la crèche, chez la nounou, ce peut être l'occasion d'une tétée-câlins-retrouvailles); et qu'est-ce qui m'empêche de donner le sein tout le temps les jours où je ne travaille pas? Le code du travail français octroie UNE HEURE PAR JOUR POUR ALLAITER, ou SORTIR ALLAITER, ouS'ISOLER ET EXPRIMER SON LAIT.

>>>>>Un dossier vous attend d'ailleurs si vous souhaitez continuer l'allaitement tout en travaillant! (Pour en savoir plus, allez sur l'Espace Allaitement, dossier Le Travail)

Et si la quantité de lait baisse? je peux le stimuler, de diverses façons et retrouver toute la quantité de lait maternel adéquate; ou alors, me "contenter" désormais de tétées-câlins: le lait diminue jusqu'à disparaître, mais les mises au sein continuent, pour le câlin.

pas assez de lait

pour autant que je sache, dès lors que la mère est informée et que l'allaitement est bien conduit, (mises au sein efficaces et fréquentes par exemple) il n'y aura pas de manque de lait -ou alors cas rarissime, à origine physiologique ou hormonale (chirurgie mammaire, certains troubles hormonaux...);
Il pourra par contre y avoir des baisses de lait, ou l'impression d'une baisse de lait. L'impression est souvent beaucoup plus forte que la réalité d'ailleurs: phase de croissance soudaine du bébé;souci maternel ou moral; un des principes d'or n'est pas respecté.
Que faire alors? suivre les principes d'or pour avoir du lait; donner le sein à la demande (voire les deux seins à chaque tétée quand le premier sein est bien vidé); induire des tétées si bébé est placide, endormi, et/ou ne réclame pas la tétée suffisamment souvent de lui-même; repos, boire, manger; en deux-trois jours, le problème devrait être résolu.

Conseil: Procéder cependant à une radioscopie du pourquoi labaisse de lait, une meilleure technique d'allaitement peut parfois ne pas être suffisante;

L'Espace Allaitement vous permettra de savoir comment procéder pour avoir du lait, et comment faire si vous avez l'impression de vivre une baisse de lait: comment la supprimer et avoir à nouveau plein de lait sans lait artificiel. comment déterminer sa cause si les premières mesures ne sont pas suffisantes pour relancer la lactation;

 

je pense très sincèrement qu'en connaissant les possibles arguments des autres, et en ayant une réponse à leur opposer,

vous pouvez AFFIRMER votre volonté d'allaiter, et conserver votre CONFIANCE en la NATURE (si ce n 'est au départ en vos bébés, en vous).



A suivre....très prochainement